C5 Aircross et Formule E : la stratégie de Citroën pour revitaliser son image et stimuler les ventes
Il était une fois, dans le monde fascinant de l'automobile, un constructeur qui se battait pour redresser la barre après des années de navigation dans des eaux tumultueuses. Citroën, cette vieille connaissance aux chevrons, a décidé que l’heure était venue de sortir l’artillerie lourde et de faire sa révolution. Les ennuis ont commencé avec des pannes de moteurs aussi fréquentes que des visites chez le dentiste, sans parler d’un petit scandale d'airbags qui a mis la marque dans une situation aussi délicate qu'un plat de spaghetti sur une moto. Mais voilà, en 2026, Citroën n’a pas fait les choses à moitié et fait ses débuts en Formule E dans l'espoir de chasser les ombres qui hantent son glorieux passé.
C5 Aircross : la tentative de Citroën pour un lifting salvateur
Entrons dans le vif du sujet avec le C5 Aircross, ce SUV qui cherche désespérément à séduire les gestionnaires de flotte tout en promettant un confort qu’on pourrait comparer à celui de s'asseoir sur un canapé en crin de cheval. Quelques centimètres de plus ici et là, des lignes nettement plus angulaires et des feux arrière qui sortent de la carrosserie comme des ailes de mouche, et le voilà prêt à affronter le monde.
- Un gabarit agrandi pour plus de confort.
- Un intérieur repensé avec une console tactile qui ferait pâlir d'envie la plupart des smartphones.
- De nouvelles motorisations, dont une version 100% électrique avec une autonomie à faire rougir un Renault Zoé.
Les promesses de Citroën vont jusqu’à garantir jusqu’à dix ans sur les moteurs PureTech, histoire de redorer le blason sérieusement écorché. C'est comme promettre qu'un chat noir croisé avec un hélicoptère apportera de la chance – un long chemin à parcourir, mais pourquoi pas ?
La Formule E : un coup de poker audacieux
Pour revigorer son image, Citroën a décidé de mettre le pied dans la mare des véhicules électriques en rejoignant la Formule E. Il faut être un peu fou, ou incroyablement ambitieux, pour oser s'attaquer à une discipline rivale sur le plan technologique, tout en espérant que quelques belles performances sur circuit suffiront à restaurer la fierté des clients. Mais que peut apporter un constructeur qui a plus souvent récolté des trous dans le bitume qu’un élan de sympathie ?
- Une nouvelle audience ciblée, plus jeune et écoresponsable.
- Un soutien médiatique qui pourrait faire l’écho de ses ambitions.
- Une possibilité de susciter l'intérêt à nouveau pour la marque, oubliée au fond d’un garage.
Xavier Chardon, le nouveau chef des chevrons, a donc décidé que l’avenir était dans l'électrique. Il s'inspire d'autres marques, comme DS Automobiles, et ose redéfinir la perception du véhicule utilitaire. Toujours est-il que cette initiative pourrait bien changer le cours des choses pour un constructeur qui peine à se maintenir à flot.
Pourquoi le retour de Citroën est-il crucial en 2026 ?
Avec l’immense pression du groupe Stellantis et des rivaux comme Peugeot et Renault, les marques ont plus que jamais besoin de se démarquer. Le monde se tourne vers l'électrique, et Citroën doit prouver qu'elle peut également s'adapter. Le C5 Aircross et la participation à la Formule E sont des atouts clefs dans cette quête.
- Des ventes qui doivent crescendo, atteignant un million d'unités d'ici 2025.
- Une part de marché en Europe en berne, avec seulement 3,1 % sur les sept premiers mois de l'année.
- Un retour aux sources, à l’époque où André Citroën faisait rêver ses contemporains avec des innovations.
Pour relancer la dynamique, le C5 Aircross doit d’abord séduire une clientèle qui se soucie autant de l’espace que de l’efficacité. Et si cette opération séduction échoue, Citroën pourrait bien devoir se contenter d’un strapontin sur le grand classique de l’automobile.
Source: www.lequipe.fr
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