Un choix éclairé : Découvrez pourquoi cette entreprise normande a opté pour la Citroën ë-C3 dans sa flotte

S'il y a quelque chose de plus irritant qu'un dimanche pluvieux, c'est certainement le spectacle d'une entreprise qui s'obstine à faire tourner un vieux diesel comme s'il s'agissait de la relique d'un musée. Mais voilà, en 2025, une entreprise normande, oui, vous avez bien entendu, normande, a décidé de faire le grand saut vers l'électrique avec, tenez-vous bien, la toute nouvelle Citroën ë-C3. Ce choix, comme un plat de tripes au cidre, est à la fois surprenant et audacieux.

Gilles Duboc, le patron de cette entreprise familiale, n’est pas le genre à se laisser flouer par l'image poussiéreuse que la plupart des gens ont des véhicules électriques. Non, il a pris le temps de réfléchir à la manière d’alléger son empreinte carbone tout en offrant à ses employés un moyen de transport qui ne ressemble pas à une tortue sur la route. "On a d’abord investi dans des tracteurs roulant au gaz naturel liquéfié", a-t-il confié. Et voilà comment on passe du diesel des années 90 à une flotte de Citroën ë-C3 flambant neuves.

Pourquoi la ë-C3, me direz-vous, à part le fait qu'elle ne nécessite pas de chercher des stations-service comme pour un rôteux inéressé ? Les choix étaient serrés, mais entre le prix un tantinet gonflé de la Renault Mégane E-Tech et la Peugeot e-208, la ë-C3 a gagné pour son côté sans chichis. “L’autonomie est bonne pour nos trajets quotidiens, et avouons-le, un intérieur spacieux est nécessaire pour y recevoir un café à emporter sans finir en chantier,” a affirmé le patron, tout en levant les yeux au ciel à l’idée de voitures à deux places avec des sièges qui ressemblent à une punition.

Les sceptiques diront que ces véhicules électriques sont beaux sur papier, mais quid de la réalité ? Ne serait-ce pas une autre mode passagère ? Gilles, avec l’air d’un homme qui a vu défiler plusieurs décennies, assure que ce choix n'est pas basé sur une quelconque forme d’aide gouvernementale. Non, c'est une question de cohérence avec leur stratégie de décarbonation. Alors que d’autres s’enlisaient dans leurs vieux moteurs en essayant de simuler une conscience écologique, lui a décidé de faire avancer sa flotte. Pourquoi ? Pour renforcer l'image de son entreprise, bien sûr, mais aussi pour offrir à ses collaborateurs quelque chose de plus moderne. Comme dire adieu aux odeurs de gasoil en leur offrant un véhicule qui n’a pas l’air de venir d’une autre époque.

Pour couronner le tout, l’installation de bornes de recharge sur le site a été un jeu d’enfant. Gilles n’a pas voulu se retrouver à jongler avec des cordons, comme un clown avec des balles trop lourdes. En conséquence, l'organisation se fait sans dissolveur de tensions. Pendant que les véhicules se ravitaillent, lui et ses cadres peuvent se concentrer sur leur travail. Qu’est-ce qu’on attend de plus ? Peut-être une petite photo Instagram pour montrer que l'on fait partie de la solution.

Tout cela pour dire que, dans un monde où le progrès et l'écologie semblent souvent s’affronter comme deux boxeurs sur le ring, cette entreprise normande a fait un choix éclairé. Le choix de la Citroën ë-C3, c’est un peu comme choisir une pizza au fromage plutôt qu’aux anchois – un plaisir simple qui ravit tout le monde. Mais il est encore loin le temps où les poids lourds passeront à l'électrique. “C’est une autre paire de manches”, admet Gilles, en soupirant face à cette réalité.

Après tout, si l'on peut s'assurer que la majorité d'entre nous se déplace dans des véhicules qui ne laissent pas une odeur de diesel dans le fond des poumons, alors peut-être que l'on assistera enfin à une évolution réussie. En attendant l'essor des camions électriques, savourez la petite victoire de l'électrique légère. Et pourquoi pas se réjouir devant une Citroën, tout en gardant un œil sur la Mégane et la Peugeot ? Bref, le temps des dinosaures est révolu, vive l’évolution, ou plutôt l'ë-C3 !

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