Volkswagen s'impose comme le leader incontesté du secteur des voitures électriques en Europe en 2025

Il semblerait qu’un cataclysme se soit abattu sur le paysage automobile européen, et la cause de cet événement troublant est le monstre allemand, Volkswagen. Oui, l’ancien géant du diesel, celui qui a failli finir en enfer du doute, s’érige désormais en phare de l’électromobilité en 2025. Qui l'aurait cru ? Pour un constructeur qui a eu du mal à se défaire de son image d’usine à tricheries, revêtir la couronne électrique n’est pas une mince affaire. Pourtant, voilà qu’il fait pleuvoir des chiffres à couper le souffle, comme s’il s'agissait de confettis dans une fête du nouvel an. Avec 717 500 véhicules électriques livrés au cours des neuf premiers mois de l'année, son ascension fulgurante - un bond de 42 % par rapport à l’année précédente - a de quoi faire rougir Tesla et ses prétentions de roi bien-aimé.

Une domination inébranlable sur le marché européen

Non seulement Volkswagen a tracé son sillon sur le marché, mais il a également su capitaliser sur cette opportunité en exploitant tous les segments possibles, du sobre ID.3 à l’étonnant ID. Buzz. Comment ne pas être impressionné par une telle gamme ? À côté, Renault et Peugeot semblent faire de petits efforts de jardinage. En effet, alors que Volkswagen rafle 27 % du marché européen des voitures électriques, les autres constructeurs peuvent à peine se faire entendre derrière le tonnerre de leur succès. Qui peut résister à attraper une part de ce gâteau luxuriant ? Pas Mercedes-Benz et BMW, qui sont encore coincés dans leurs SUV luxueux à essence, à espérer qu’un miracle se produise.

Les SUV : la nouvelle obsession des consommateurs

Clarifions ce point : le duo Volkswagen ID.4 et ID.5 a fait exploser des chiffres, avec 128 900 ventes. Les travailleurs acharnés, parents de trois enfants qui rêvent de liberté tout en cherchant désespérément à caser leurs courses dans le coffre, ont enfin un véhicule pour leurs mésaventures. Cette soif dévorante pour les SUV électriques a complètement redéfini les préférences des consommateurs. D’un autre côté, les voitures familiales traditionnelles peuvent commencer à rédiger leurs obits.

Une stratégie solide, mais des défis en perspective

Malgré la pluie d’applaudissements, des nuages sombres persistent. Avec des ventes mondiales stagnantes de 6,6 millions de véhicules, le groupe se doit de jongler avec des marchés inégaux. En Chine, par exemple, la concurrence fait rage, et il semblerait que du côté de Tesla, les chiffres fassent cruellement défaut. Pendant ce temps, Volkswagen semble tirer son épingle du jeu en Europe, mais la plongée en Amérique du Nord, où les pick-up et SUV thermiques demeurent rois, doit susciter des sueurs froides.

L'hybride rechargeable : la rampe de lancement vers l'électrique

En parallèle, les hybrides rechargeables semblent doucement se frayer un chemin dans le cœur des consommateurs hésitants. Affichant une progression de 55 % en un an, les 299 000 unités vendues témoignent de la pertinence de cette solution intermédiaire. Avant de sauter dans le grand bain de l’électrification totale, certains automobilistes préfèrent encore tremper leurs orteils. Cela fait bien rire les ingénieurs de Volkswagen, mais l’automobile est un monde de nuances, et la patience est une vertu.

Enfin, que dire de cette montée vertigineuse qui propulse Volkswagen sur un piédestal, alors que des histoires de rattrapage tardif flottent autour de Tesla et de son avenir incertain ? Qui aurait cru que le vieux lion au pelage graisseux serait la surprise du chef ? Volkswagen, parviendra-t-il à maintenir cette dynamique et à peser sur le long terme face à la tempête de la compétition ? À l'évidence, en 2025, la réponse reste en suspens, comme un appareil photo coincé sur le point de prendre le cliché parfait.

Source: rouleur-electrique.fr

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