Le moteur Audi en F1 pourrait accuser un retard de 30 chevaux
Faut-il vraiment s'inquiéter que l'Audi décale son arrivée en Formule 1 en 2026 avec un moteur déjà à la traîne ? Les rumeurs qui s'éparpillent comme du pollen au printemps laissent entendre que le tout nouveau groupe motopropulseur pourrait avoir jusqu'à 30 chevaux de retard. Oui, vous avez bien entendu. Trente petits poneys de moins qui galoperont sur la piste pendant que les autres concurrents rugissent avec la puissance d'un troupeau d'étalons à l'entraînement.
Imaginez un instant, une écurie qui se prépare à entrer sur le circuit, mais qui pourrait ressembler à un vieux modèle à essence essayant désespérément de démarrer pendant que ses rivaux, équipés de supercars dernier cri, se pavanent autour. Épatant, n'est-ce pas ? Les premiers tests – selon F1 Insider – suggèrent l'ombre d'un écart par rapport aux moteurs les plus performants du moment, en particulier ceux de Mercedes. Et là, on commence à sentir la sueur froide couler le long de la nuque des techniciens Audi.
Les chiffres qu'ils rapportent au cours des réunions avec la FIA ressemblent à une devinette indécente. Quelqu'un a déjà entendu des mots à l’intérieur de cette assemblée concernant des performances réelles ? Un peu comme demander à un enfant de révéler l’emplacement de ses bonbons préférés : ce ne sont que des réponses embrouillées ! C'est bien connu, la réglementation s'oppose fermement à toute sous-estimation manifeste des résultats. Mais des mots ont été échangés au Mexique sur un écart colossal, qui avoisinerait même les 100 chevaux. Pour sûr, ces murmures ont été balayés comme des feuilles mortes en automne.
Et que dire du directeur de l'écurie, en mode optimiste ? Jonathan Wheatley, fraîchement débarqué avec son passé chez Red Bull, insiste sur la fiabilité plutôt que sur la puissance à tout prix. Il n'y a pas de quoi s'énerver, n'est-ce pas ? "Nous sommes complètement dans les temps", claime-t-il. Mais très bien, mais que se passe-t-il si ce « temps » se retourne contre eux comme un chat qui joue avec une boule de ficelle ?
Dans le monde de la compétition automobile, rester sur la touche avec un moteur encore en phase de rodage est une tendance que l'on préfère voir chez les amateurs de selfies au bord d'un circuit, plutôt que chez un constructeur comme Audi. Gernot Dollner, le PDG d’Audi, voit en la F1 une plateforme « extraordinaire ». Ça lui réussit, mais il faudrait qu’il garde à l'idée que sans un moteur qui grouille sous le capot, cet avenir lumineux pourrait rester sur le papier.
Aujourd'hui, la lutte pour la puissance se transforme en un véritable ballet, et Audi semble être la ballerine maladroite qui trébuche sur sa propre robe. Quelque chose de fascinant émerge alors que le public attend des performances époustouflantes : si leur groupe motopropulseur se révèle être une catastrophe technique, ce pourrait bien être la preuve que même les plus grands constructeurs automobiles doivent savoir jouer au jeu de la vitesse…avec style.
Dans le tumulte de ces évolutions, la réputation d'un géant peut s'effondrer aussi rapidement qu'une voiture mal garée sur un trottoir donné. En attendant que les premiers tests d’intégration avec un châssis arrivent d'ici fin d’année, nulle doute que les aficionados de la performance tiendront leur souffle, en espérant que le moteur d’Audi vienne siffler au bon moment plutôt que de geindre au fond d’un garage silencieux.
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